À travers notre travail, nous avons voulu mettre en avant d’autres formes d’addiction qui d’une part n’était pas assez mis en lumière comme l’alcoolisme et le tabagisme, d’autre part, ils nous semblaient nécessaires d’en parler, car nous pouvons constater une augmentation de ces trois addictions évoquées précédemment avec la mise en place des différents confinements, en touchant particulièrement la plus jeune génération.



En effet, notre enquête nous a permis d’en savoir plus sur des domaines qui nous ont pour la plupart touchés personnellement :


Premièrement, parmi les TCA, (trouble du comportement alimentaires), nous nous sommes penchés sur la boulimie, mais nous tenons à notifier que l’anorexie et l’hyperphagie ne sont pas à négliger et sont tout aussi dévastatrices que la boulimie et que les confinements ont eu pour impact une aggravation de celles-ci.


Deuxièmement, l’addiction aux jeux vidéo, (aujourd’hui reconnu comme tel par l’organisation mondiale de la santé), a été un moyen de se divertir et faire passer le temps pendant la crise sanitaire, mais se montrera en réalité comme une activité chronophage. Effectivement, jouer empiéterait sur la durée de sommeil, sur une alimentation équilibrée et pour certains cela ira même jusqu'à la négligence de son hygiène corporelle. En soi, le problème n’est pas le temps passé devant les jeux vidéo, mais plutôt l’impact sur la vie quotidienne. Selon les experts, la proportion des addicts se situerait entre 1 et 10 % des joueurs.


Troisièmement, la dépendance aux jeux d’argent, malgré l’interdiction pour les moins de 18 ans, est en constante montée. On peut mettre cela sur le développement des jeux d'argent en ligne. Par ailleurs, les paris sportifs en sont un parfait exemple. 10 ans après l’ouverture des jeux en ligne qui représente maintenant 17 % des parts de marché dans ce secteur d’activité, la différence entre le montant des mises initiales et le montant des gains remises aux joueurs aurait augmenté de 717 %.




Pour finir, en prenant un peu de recul, on peut, effectivement voir que notre webdocumentaire a ses limites et qu’il ne peut être présenté comme universel. Mais cela permettra à un grand nombre de s'identifier ou tout simplement de prendre conscience qu’ils ne sont pas les seuls à vivre cette situation et à se battre tous les jours contre celles-ci.